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Thèse de DELPECH-HELLSTEN Catherine
Poétique de la démesure dans l’œuvre romanesque d’Édouard Glissant
Publié le 23 août 2018 – Mis à jour le 24 septembre 2018
dir. J.-Y. Laurichesse.
Résumé :
Dans sa durée, l’œuvre d’Édouard Glissant aménage une « conversion de l’être ». Errance et démesure y sont des notions opératoires qui permettent de saisir les mouvements et les transformations de « l’être qui se trouve ». Le « pli » où s’accomplit, par la « phénoménologie du roman », la « thérapeutique globale » antillaise ; le « dépli » de la Relation dans le tournant des années 90 ; Et le « passage » qui ouvre le champ d’une épistémologie nouvelle : « Rien n’est Vrai, tout est vivant ».
Jury :
Jean-Yves Laurichesse, directeur (Univ. Toulouse Jean Jaurès)
Jean-Pol Madou (Univ. De Savoie)
François Noudelmann (Univ. Paris 8)
Samia Kassab-Charfi (Univ. Tunis)
Dans sa durée, l’œuvre d’Édouard Glissant aménage une « conversion de l’être ». Errance et démesure y sont des notions opératoires qui permettent de saisir les mouvements et les transformations de « l’être qui se trouve ». Le « pli » où s’accomplit, par la « phénoménologie du roman », la « thérapeutique globale » antillaise ; le « dépli » de la Relation dans le tournant des années 90 ; Et le « passage » qui ouvre le champ d’une épistémologie nouvelle : « Rien n’est Vrai, tout est vivant ».
Jury :
Jean-Yves Laurichesse, directeur (Univ. Toulouse Jean Jaurès)
Jean-Pol Madou (Univ. De Savoie)
François Noudelmann (Univ. Paris 8)
Samia Kassab-Charfi (Univ. Tunis)