Anabases : informations éditoriales à l'usage des auteurs

La revue Anabases obéit à des normes graphiques bien précises, détaillées dans le dossier des normes (format pdf).

A/ Envoi et présentation d’une contribution

Les articles destinés à Anabases seront rédigés dans une des cinq langues suivantes : français, allemand, anglais, italien, espagnol.
Ils seront accompagnés d’un résumé en français et en anglais (entre 8 et 10 lignes), ainsi que de six à huit mots-clés en français et an anglais.
L’auteur fera figurer à la fin de son texte une signature contenant les indications suivantes : prénom et nom, titre qu’il souhaite voir figurer, adresses postale et électronique.
Les articles ne dépasseront pas, dans la mesure du possible, 35 000 signes, notes et espaces compris. Les textes destinés aux “Ateliers de l’histoire” ne dépasseront pas 15 000 signes. Les comptes rendus comprendront entre 4 000 et 6 000 signes.
Pour les illustrations, seront privilégiés les dessins au trait et les gravures. On pourra intégrer des photographies N/B de bonne qualité, en résolution 300 dpi (format .jpeg, .eps ou .tiff). Les renvois à l’intérieur du texte sont indiqués sous la forme (fig. 0). Pour chaque figure, on joindra la légende complète, l’indication de provenance et, le cas échéant, la mention du copyright.

Envoi:

Les textes sont communiqués par courrier électronique aux adresses suivantes :
 

Si besoin, adresse postale :
PLH-ERASME / Anabases
Maison de la Recherche
Université Toulouse – Jean Jaurès
5, allées Antonio Machado
F-31058 Toulouse cedex 9 / France

B/ Processus d’évaluation, épreuves, tirages à part

Les articles qui parviennent à la rédaction sont soumis, de manière anonyme, à une double évaluation. La synthèse de cette double évaluation anonymisée est transmise à l’Auteur.
Les auteurs reçoivent un seul jeu d’épreuves ; les corrections d’auteurs sont à éviter.
Ils reçoivent aussi un exemplaire de la revue, 15 tirages à part papier de leur contribution et une version .pdf de celle-ci. Sa mise en ligne doit respecter la barrière-mobile de 3 ans.
L’auteur cède à la revue les droits sur la contribution qui est acceptée pour publication.

C/ Normes éditoriales

Pour l’alphabet latin, on utilisera le Times (New Roman).
Pour le grec ancien, seules les polices Unicode seront acceptées. Par exemple, la fonte IfaoGrecUnicode (disponible pour PC et Mac et téléchargeable sur le site http://www.ifao.egnet.net/publications/outils/polices/ ou sur http://www.menestrel.fr/spip.php?rubrique738&lang=fr#479). On peut également utiliser l’Unicode des polices Times ou Times New Roman.

Pour le texte, corps 12 ; pour les notes de bas de pages en numérotation automatique, corps 10. Les macros, puces, mises en forme automatiques sont à désactiver.

Les citations en français sont accompagnées des guillemets français (« »), dans le texte comme dans les notes ; les citations en langue étrangère sont en italique et sans guillemets. Lorsqu’une citation étrangère est suivie de sa traduction (ou inversement), celle-ci figure entre parenthèses. Les termes en langue étrangère sont en italique. Lorsqu’une citation dépasse deux lignes, elle prend la forme d’un pavé distinct du texte, précédé et suivi d’un saut de ligne, avec un retrait d’1cm.

Ex. : Comme le dit la citation : Tempus enim ridendi et tempus flendi. (« Il y a un temps pour rire et un temps pour pleurer. »)
Comme le dit la citation : « Il y a un temps pour rire et un temps pour pleurer. » (Tempus enim ridendi et tempus flendi.)

Pour les références bibliographiques dans les notes de bas de page :
- pour les auteurs anciens, noms en minuscules :
Homère, Iliade XII, 417-418
Sappho, fr. 12 Voigt
Athénée VIII, 48, 353B.
- pour les documents épigraphiques : IG, III, 215.
- pour les références modernes, noms en petites capitales :
J. Irigoin, Tradition et critique des textes grecs, Paris, Les Belles Lettres, 1997.
F. Gascó, « Vita della polis di età romana e memoria della polis classica », in S. Settis (a cura di), I Greci. Storia Cultura Arte Società, 2. Una storia greca, III, Trasformazioni, Turin, 1998, p. 1147-1164.
P.-M. Martin, « Architecture et politique : le temple de Jupiter Capitolin », in Présence de l’architecture et de l'urbanisme romains. Hommage à Paul Dufournet, Paris, 1983, p. 9-29.
L.D. Reynolds, « Experiences of an editor of Classical Latin Texts », Revue d’histoire des textes 30 (2000), p. 1-15.
D. Marcotte, Géographes grecs, I, Introduction générale. Ps.-Scymnos : Circuit de la Terre (CUF), Paris, 2000 (ou : Paris, Les Belles Lettres, C.U.F., 2000).
G. Herzog-Hauser, s.v. « Tyche », RE, VII A2, 1948, col. 1643-1689.

Pour les abréviations, on se reportera au LSJ et à L’Année Philologique.
NB : la mention de la maison d’édition est facultative, mais figure toujours ou jamais.

Dans le cas de contributions précédemment citées, indiquer le seul nom de l’auteur et le titre abrégé de la contribution. On évitera d’introduire des abréviations du type op. cit., art. cit.
Ex. : Irigoin, Tradition, p. 23.