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Thèse de "La figure du dieu-fleuve dans l'épopée gréco-latine : représentation poétique et dimension symbolique"
Publié le 22 novembre 2021 – Mis à jour le 22 novembre 2021
Intitulé de la thèse : La figure du dieu-fleuve dans l'épopée gréco-latine : représentation poétique et dimension symbolique (sous la direction de François Ripoll).
Présentation de la thèse : On a peu examiné la symbolique des fleuves dans la littérature antique ; une seule étude synthétique, dans le champ littéraire, existe : elle s’intéresse à la fonction de la divinité fluviale dans L’Énéide après avoir décrit la place qu’elle occupait dans la culture gréco-latine. Ce travail de thèse, tout en se limitant à l’épopée gréco-latine, propose d’élargir la réflexion à un corpus de dieux-fleuves plus vaste, allant d’Homère aux poètes flaviens. En d’autres termes, seront abordés les épopées grecques et latines d’époque archaïque et classique. La symbolique du dieu-fleuve a partie liée avec différentes problématiques, parfois explorées dans certaines études, mais rarement synthétisées dans un travail plus général. Ses fonctions sont multiples et souvent connexes : le fleuve peut tout autant symboliser un obstacle au héros qu’un seuil entre deux mondes, de sorte qu’il pose la question anthropologique de la place de l’homme par rapport aux dieux ; il peut fonctionner comme une synecdoque ethnographique d’un lieu ou d’un peuple, ce qui induit cette fois-ci la problématique de la maîtrise des éléments et du rapport de force géopolitique. Le fleuve a surtout une fonction réflexive et métapoétique qu’il s’agit d’interroger.
Intitulé de la thèse : La figure du dieu-fleuve dans l'épopée gréco-latine : représentation poétique et dimension symbolique (sous la direction de François Ripoll).
Présentation de la thèse : On a peu examiné la symbolique des fleuves dans la littérature antique ; une seule étude synthétique, dans le champ littéraire, existe : elle s’intéresse à la fonction de la divinité fluviale dans L’Énéide après avoir décrit la place qu’elle occupait dans la culture gréco-latine. Ce travail de thèse, tout en se limitant à l’épopée gréco-latine, propose d’élargir la réflexion à un corpus de dieux-fleuves plus vaste, allant d’Homère aux poètes flaviens. En d’autres termes, seront abordés les épopées grecques et latines d’époque archaïque et classique. La symbolique du dieu-fleuve a partie liée avec différentes problématiques, parfois explorées dans certaines études, mais rarement synthétisées dans un travail plus général. Ses fonctions sont multiples et souvent connexes : le fleuve peut tout autant symboliser un obstacle au héros qu’un seuil entre deux mondes, de sorte qu’il pose la question anthropologique de la place de l’homme par rapport aux dieux ; il peut fonctionner comme une synecdoque ethnographique d’un lieu ou d’un peuple, ce qui induit cette fois-ci la problématique de la maîtrise des éléments et du rapport de force géopolitique. Le fleuve a surtout une fonction réflexive et métapoétique qu’il s’agit d’interroger.
Présentation de la thèse : On a peu examiné la symbolique des fleuves dans la littérature antique ; une seule étude synthétique, dans le champ littéraire, existe : elle s’intéresse à la fonction de la divinité fluviale dans L’Énéide après avoir décrit la place qu’elle occupait dans la culture gréco-latine. Ce travail de thèse, tout en se limitant à l’épopée gréco-latine, propose d’élargir la réflexion à un corpus de dieux-fleuves plus vaste, allant d’Homère aux poètes flaviens. En d’autres termes, seront abordés les épopées grecques et latines d’époque archaïque et classique. La symbolique du dieu-fleuve a partie liée avec différentes problématiques, parfois explorées dans certaines études, mais rarement synthétisées dans un travail plus général. Ses fonctions sont multiples et souvent connexes : le fleuve peut tout autant symboliser un obstacle au héros qu’un seuil entre deux mondes, de sorte qu’il pose la question anthropologique de la place de l’homme par rapport aux dieux ; il peut fonctionner comme une synecdoque ethnographique d’un lieu ou d’un peuple, ce qui induit cette fois-ci la problématique de la maîtrise des éléments et du rapport de force géopolitique. Le fleuve a surtout une fonction réflexive et métapoétique qu’il s’agit d’interroger.